Un des grands classiques quand on photographie les bambous, c’est de pointer l’appareil vers les feuillages. S’en dégage cette impression de grandeur avec le tronc au premier plan qui s’élève infiniment pour tutoyer le ciel.

Mais au delà de cela, il y a parfois des ouvertures dans les branchages. Et avec un peu d’imagination, on peut y voir des formes. Ici, sur cette photo prise de nuit lors du festival Arashiyama Hanatoro, il m’a semblé avoir comme un oeil qui veille au dessus de nous. Une ouverture qui agit comme un rappel qu’il y a bien autre chose au dessus de ce tunnel de bambous.

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